| Dernières réponses | |  Elle recula d'un pas et eut un léger sourire, quelque peu sadique et sournois. Elle tourna les talons et lorsqu'un de ses soldats déclara qu'ils devraient rentrer, elle se tourna vers lui, lui jetant un regard assassin. Le soldat recula d'un pas et resta ainsi immobile. Il déglutit péniblement et Yoko annonça :
Je n'ai pas besoin de tes conseils... Et oui, nous allons rentrer. Mais, es-tu si stupide que tu ne peux pas le faire par toi-même ou me prend tu pour une idiote née ?
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| | Kageru ne sourcilla pas, surtout quand la jeune femme approcha son visage du sien, sentant son souffle. Il eut un petit frémissement, et aussi droit à un regard assassin de son cher compagnon d'arme. Oh, ben, j'ai le droit d'avoir mes petites envies du jour mon coco... Et puis, cette femme est comme toutes les autres, malgré so caractère de rebelle, je l'attraperais dans mes filets.
"Toute seule ? C'est préférable oui. Sinon, je risque de devoir tuer tout tes gardes pour juste avoir vu mon visage."
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| | "Tu feras un peu moins le fier quand tu seras dans mes geôles..."
Elle croisa les bras. Elle n'avait même pas tiqué sur le 'femme fatal' de Kageru. Elle poussa un léger soupir : les hommes étaient décidément tous les mêmes. Lorsque le jeune voleur fut bien ligotés, elle s'approcha de lui et releva deux mèches. Elle approcha son visage du jeune homme et dit :
"Mais.. Ton visage, comment pourrais-je prétendre ne pas vouloir l'âbimer si je ne le vois pas ?"
Lentement, elle porta une main vers le visage du garçon et s'arrêta. Elle déclara alors :
"Non... Je préfère voir ça seule..."
Message édité le 22-03-2007 à 12:37:07 par Yoko Sasagawa |
| | Kageru regarda la jeune femme dans les yeux, il n'avait ni chaud ni froid, même en sachant que cette femme était l'héritière du fameux Oria. Celui qui avait ravagé plus d'une terre par ses flammes. Un petit sourire apparut sur ses fines lèvres, il tourna légèrement la tête, en fixant cette fois son bras droit qui était maintenant bien ligoté. Puis il ramena son attention sur la jeune femme au tempérament plutôt interressant, en disant :
"Sans trop me brusquer ? Auriez vous peur d'abîmer mon visage chère princesse ?"
Kageru pencha la tête en arrière, pour regarder le ciel qui était bien sombre ici. Il émit un petit rire et poursuivit
"Pauvre garçon. Attrapé par une femme fatale... mais cela ne me déplait pas."
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| | Elle eut un léger sourire et haussa des épaules. Ses sbires avaient fermement ligotés le garde du corps du voleur. Yoko replaça une mèche de cheveux derrière l'oreille et déclara avec une douceur maligne :
"Dommage, oui... Mais, tant pis... Seul toi m'intéresse."
Elle resta à bonne distance du jeune homme et déclara à ses hommes :
"Occupez de ce jeune homme... Sans trop le brusquer !"
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| | Kageru ferma lentement les yeux, son cher garde du corps le regarda étrangement et ne pu réagir au personnes qui lui sautèrent dessus. Une vingtaine de personne pour lui tout seul aurait dit le jeune Chef de voleur. Quelle chance. Au bout de quelques secondes de réflexion, Kageru releva la tête lentement vers la jeune femme qui lui avait dit "si tu ne veux pas mourir...Suis moi" C'était donc cette jeune femme qui était la nouvelle dirigeante du pays d'Hebichi. Jolie mignoi. De long cheveux d'un rose éclatant, un fin visage angélique au sourire narquois. Il n'aurait pas pu réver mieux.
Un sourire machiavélique s'afficha sur son visage, bien entendu, personne ne le voyait. Le jeune homme fit un mouvement de tête à son garde qui sortit brusquement son arme en prononçant "Koroi Sharaa". Tous les autres voleurs qui étaient avec eux disparurent. Un petit sourire s'afficha sur le visage de son garde du corps, échangeant un regard complice avec son maître.
Kageru regarda la jeune héritière et lui dit d'une voix tout à fait normal :
"J'ai tout a fait le plaisir de vous annoncer qu'on ne sera que deux. Dommage, quand je pense que vous auriez pu attraper toute la guilde."
"C'est dommage, Hein ?"
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| | Yoko, qui traquait depuis si longtemps cet homme, lança l'assaut. Ses hommes envoyèrent une volée de flèches, attachées à des fils. Puis, la jeune femme fit son Dokuzetsu Hi, sa Langue de Feu, qui suivit les fils. Cinq de ses hommes se ruèrent sur le gros lourdeau pendant que la jeune femme, avec précaution, sortit de sa cachette. Elle regarda Kageru et s'avança vers lui d'une démarche affriolante et fit apparaître deux boules de feu. Elle déclara alors :
Si tu ne veux pas mourir... Suis-moi...
Puis, elle aboya au reste de ses hommes :
Et vous, bande de chiens gâleux... Magnez votre derrière et arrêter moi ce gros lourdeau ! Attacher le fermement !
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| | La Guilde traversait de nombreux pays pour voler les seigneurs, néanmoins, personne n'avait jamais eu l'audace d'entré dans le pays du feu. Jamais. Pourquoi ? La raison est simple, les habitants du pays d'Hebichi était tous des sadiques. Ils suffisaient qu'ils les voient pour qu'ils se ruent sur eux. Néanmoins, les personnes de la guilde n'était pas vraiment faible. Pour tout dire, ils étaient considéré comme les pires élites de toutes les terres.
kageru marchait vers le centre, pour ne pas se faire attaquer le premier. Son garde du corps, toujours plus de cinq têtes que lui se tenait devant lui pour le protéger en cas de besoin. Le jeune homme avait la tête baisser et un léger sourire aux lèvres. Que le sol était magnifique, avec ses jolis reflets rouges.
Kageru était venu ici dans le seul but de voler un objet bien spécifique au seigneur de ces terres. Bien entendu, il n'avait aucune idée de son nom. Mais, les plans du château ne lui avaient pas échapper pour autant.
Soudain, Kageru s'arrêta et dit d'une voix monotones :
"Oh... tiens. Je crois qu'on est tombé dans un piège merveilleusement bien fait."
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